Employer à tord et à travers ce mot me heurte pendant l'éprouvante période que nous traversons.
Au titre de liberté c'est un peu choisir qui doit vivre ou mourir et c'est inacceptable. La liberté ne se borne pas à un choix personnel de vivre. En temps de crise elle ne doit pas s'opposer aux règles collectives de sécurité sanitaire mais s'y associer. De surcroit cette attitude est la preuve d'un réel égoïsme. De fait il s'agit d'une règle dangereuse qui met en péril les objectifs sociétaux mis en place pour vaincre le virus.
On disait autrefois que la discipline était la force des armées pourquoi n'en serait-il pas autant pour la société civile française.
Après l'indignation soyons rebelles et refusons toutes ces idées, mesures et pensées uniques qui s'opposent à notre libre arbitre, déforment la réalité, insultent notre bon sens et qui s'inscrivent en faux et en permanence à notre construction intellectuelle et notre bien être économique.
Prendre les gens pour des "cons" ne dure qu'un moment. Nous vivons la déconstruction de la démocratie et de la laïcité; principes qui nous sont si chères.
Alors rebelle je suis et j'en suis fier.
Enfin c'est juste ma façon de voir les choses sur ce sujet.
Plutôt que chercher midi à quatorze heure ce à quoi s’évertue avec une certaine opiniâtreté nos élites, journalistes et politiques, pourquoi ne pas faire comme la religion catholique et établir un denier du culte musulman, laissant à chaque la possibilité de donner ou pas ce qu'il veut pour financer sa religion et éviter ainsi des financements nocifs du Qatar ou de l'Arabie Saoudite.
Voilà une réflexion bien laïque mais tellement logique et pragmatique.
Ne pas respecter la nature (donc ignorer l'écologie) c'est comme s'assoir sur un gros baril de dynamite et allumer la mèche en attendant de voir ce qui va se passer.
On pourrait étendre cette réflexion à notre société et l'art avec lequel elle est gérée.