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Un monde idéal

Publié le par Christian Bochet

 

Un monde idéal
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Publié depuis Overblog

Publié le par Christian Bochet

Le déclin de civilisation est la chute d'une société humaine complexe, caractérisée par la perte de son identité culturelle et de sa complexité socio-économique, la chute du gouvernement et la montée de la violence.
Selon Wikipedia.
 

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Nanterre une surprise ?

Publié le par Christian Bochet

Nanterre une surprise ?
 
Non, cela fait 40 ans que l’État a lâché prise, que l’éducation nationale a appris à détester la France, que les parents ont baissé les bras....
Alors non il n'y a pas de surprise, on récolte toujours ce que l'on sème.

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Non à la soumission

Publié le par Christian Bochet

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casse-tête

Publié le par Christian Bochet

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Messire Jean de Soissons

Publié le par Christian Bochet

Jean de Soissons, sire de Moreuil, chevalier, conseiller et chambellan du roi, capitaine des Château et ville de Compiègne.

Ce personnage n'a pu trouver place dans la filiation suivie de la maison de Moreuil, mais par la concordance des dates on le croit fils de Rogues de Moreuil, seigneur dudit lieu et de Coeuvres, et d'Ade de Montigny, dame de Belloue.

Rogues est le premier qui ait changé son nom de Moreuil contre celui de Soissons, du consentement de Marguerite, comtesse de Soissons, femme de Jean de Hainaut, et à cause de l'alliance de son aïeul, Bernard V, sire de Moreuil, avec Yolande de Soissons, dame de Coeuvres.

L'illustre maison de Moreuil tire son origine de Bernard de Moreuil, vivant en 1119, avec lequel commence la filiation suivie. Elle s'éteignit à la fin du XV siècle dans les familles de Créquy et de Rouault-Gamaches.

Artus de Moreuil, né vers 1450, fils bâtard de Jean de Soissons Moreuil, et légitimé en mai 1496, devint la souche d'une branche dont le dernier représentant fut Alphonse de Moreuil, dit le comte de Moreuil, premier écuyer du prince de Condé, père d'une seule fille, N...alliée vers 1650 à Noêl de Barbezières, seigneur de Chémerault, lieutenant général des armées du roi.

 

Sources Google livres

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Petits rappels de l'Histoire

Publié le par Christian Bochet

Cette histoire contemporaine que certains dirigeants occultent :

 

De 1941 à 1945, les États-Unis ont fait parvenir aux Soviétiques des biens et des services d'une valeur totale de 11,3 milliards de dollars, l'équivalent en 2016 de 180 milliards de dollars.

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Explosion de la poudrière Saint-Rémi à Soissons

Publié le par Christian Bochet

Explosion de la poudrière du Bastion Saint-Rémi

le 13 octobre 1815 à Soissons (02200)

 

 

Au mois de juin 1815, divers projectiles étaient emmagasinés dans des casemates situées à droite et à gauche de bastion Saint-Rémi au bout de la rue Saint-Rémi. Quatre mois plus tard, une de ces casemates recelait six à sept mille kilogrammes de poudre, un grand nombre d'obus, de bombes, de boulets, de gargousses, ainsi que des cartouches.

Le vendredi 13 octobre, un capitaine d'artillerie, François Marcoux, un sergent de la même arme Jean Hénot et un artificier appelé Pichon, étaient occupés autour des poudres, lorsque tout à coup, entre une et deux heures de l'après-midi, un accident ou une imprudence produisit une explosion des plus épouvantables.

L'explosion fut d'une violence extrême, plusieurs maisons furent détruites, de nombreux habitants succombaient ensevelis sous les ruines qu'amoncelait l'explosion.

Les rues Saint-Godin, de l'Echelle-du-Temple, de la Trinité, de Panleu, de la Buerie, des Minimes, des Paveurs et de la rue Saint-Christophe étaient effroyablement obstruées par des décombres.

Il se trouvait encore des débris dans des rues très éloignées de celle de Saint-Rémi, telles que la rue des Feuillants, la rue Saint-Léger, la rue de la Petite-Poterne, la rue Saint-Jean-des-Vignes, Il en tomba même bien loin sur la route de Soissons à Compiègne.

(pour ceux qui connaissent Soissons, ils peuvent imaginer l'ampleur de la catastrophe).

 

La première personne trouvée fut une pauvre femme de soixante quatorze, appelée Marie Françoise Poëte, veuve du sieur Nicolas Villefroy originaire de Noyon. La seconde fut une jeune fille de seize ans, nommée Victoire Lefèvre, Toutes deux étaient affreusement mutilées.

Après avoir retrouvé ces deux infortunées, les travailleurs découvrirent en quelques heures cadavre sur cadavre et c'étaient ceux de :

 

Jean François Ployart, âgé de 47 ans, maçon ;

Marie marguerite Folliard, âgée de 50 ans, sa femme ;

Marie Nicole Ployart, âgée de 30 ans, épouse de Jean François Maurice Chartier, maçon ;

Adolphe Chartier, âgé de 3 ans, enfant des époux Chartier-Ployart ;

Louise Charlotte Duval, âgée de 13 mois, née à Paris, en nourrice chez les époux Chartier ;

François Lior, âgé de 53 jours, également né à Paris, et en nourrice chez les mêmes ;

Marie Félicité Lalu, âgée de 31 ans, originaire de Cuisy-en-Almont, épouse de François Joseph Raverdy, maçon ;

Nicolas Miret, caporal au ci-devant 70ème régiment d'Infanterie de Ligne,ayany fait partie d'un poste qui avait été établi à la poudrière ;

Philémon Commun, âgé de 21 ans, né à Château-Thierry, soldat au ci-devant 39ème d'Infanterie de ligne et ayant aussi fait partie de poste de la poudrière ;

Marie Antoinette Fontaine, âgée de 45 ans, native de Sergy, veuve de Charles Lavande, aubergiste, rue du Port-à-la-Bûche ;

Jean Mironnof, âgé de 19 ans, né à Riga (Russie), postillon d'un certain général Emme, qui commandait la 26ème division militaire des armées impériales et qui était logé rue de l'Echelle-du-Temple, chez une dame Binard ;

Nicolas Davaille, âgé de 21 ans, soldat au ci-devant 9ème régiment d'Infanterie Légère, né à Silly-la-Poterie, ayant fait partie du poste de la poudrière ;

Jeanne Marguerite Basse, âgée de 68 ans, née à Ardon, faubourg de Laon, veuve de Louis Lebrun, tisserand .

Au moment de l'explosion, il y avait récréation des élèves dans le séminaire, situé non loin de la poudrière dont le supérieur était l'abbé Gloriot. Parmi eux se trouvaient :

Anicet Joseph Beth, âgé de 18 ans, né à Burelles ;

Charles Bardoulet, âgé de 18 ans, né à Retheuil ;

Joseph Legrand, âgé de 19 ans, né à Beaurain ;

François Léonard Davril, âgé de 20 ans né à Brunehamel ;

Claude Louis Cheyer, âgé de 18 ans né à Noircourt :

Nicolas Bruneaux, âgé de 19 ans, né à Essises.

 

Les cinq premiers furent foudroyés, le sixième et septième ne leur survécurent.

 

 

Le 15 octobre on découvrait les corps inanimés de :

Emélie Raverdy,âgée de 5 ans ;

Amable Raverdy, âgé de 3 ans ;

Victorine Raverdy, âgée de 1 an , enfants de François Joseph Raverdy et de Marié Félicité Lalu.

 

Plus tard on découvrait :

François Philippe Chartier,âgé de 6 ans et Louis Auguste Cagniard, âgé de 26 ans, né à La Fère, soldat au 9ème régiment d'Infanterie ;

Jean Antoine Ployart, âgé de 10 ans ;

Eugénie Brismontier, âgée de 5 ans fille de Marc Brismontier, tisserand rue Saint-Rémi ;

Le 1er novembre 1815, expirait à l'Hôtel-Dieu, où elle avait été transportée gravement blessée par l'explosion Angélique Legrand, âgée de trente ans, épouse de François Marc Brismontier (elle était la trente-huitième victime connue)

 

François Marc et Angélique sont nos ancêtres directes branche Deville, Carron Brismontier (source émanant de la Société archéologique historique et scientifique de Soissons).

 

D'après le sous-préfet d'alors 150 à 200 personnes furent blessées, mais il y en eut plus d'une vingtaine qui le furent grièvement.

165 maisons ont été plus ou moins endommagées.

 

Ce drame reste inscrit dans la mémoire collective des habitants de Soissons.

 

Fait à Moreuil le 22 juin 2023.

 

 

 

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Un ancêtre pionnier de l'Ouest américain

Publié le par Christian Bochet

Passionné par la généalogie je vais souvent de découvertes en découvertes. Ainsi voici quelques années nous nous sommes découverts un ancêtre pionnier de l'ouest américain.
 
Ci-dessous son histoire vue par Wikipédia car tous les ouvrages le citant sont en Anglais.
 
Alexander Toponce (né à Belfort, France le 10 novembre 1839 et mort 13 mai 1923) est un pionnier américain de la Conquête de l’Ouest aux États-Unis.
L’AVENTURIER
Le jeune Alexander a quitté Belfort avec ses parents en 1846, alors qu'il n'avait que 7 ans. Ils sont partis à Paris en fourgon, puis ont pris le train pour aller embarquer au Havre. Il a appris des rudiments d'anglais avec les marins, pendant la traversée de l'Atlantique. Les débuts à New York sont difficiles. Son père, Pete (sans doute Pierre), a quatre enfants à nourrir. En 1848, il décide de partir pour l'Ouest des États-Unis où de l'or vient d'être découvert dans une rivière. Le jeune Alexander n'a donc que 10 ans quand il commence à arpenter les pistes du désert vers l'Arkansas, La Nouvelle-Orléans et la route de Santa Fé.
Cow-boy, chercheur d'or, coursier du Pony Express, propriétaire de lignes de chariots de marchandises, maire de Corinne (Utah) près de Salt Lake City, shérif, éleveur de chevaux, directeur de ranch, constructeur de la Bonanza Road… Toponce était, dès le milieu du XIXe siècle, au côté des Pionniers mormons pour créer, entre les Montagnes Rocheuses et le plateau du Colorado, ce qui devint l'État de l'Utah.
 
HOMME D'AFFAIRES
 
On le retrouve cow-boy alors qu'il est encore adolescent, avant qu'il ne fasse une rencontre déterminante en 1857 - il n'a pas 18 ans ! - lorsqu'il soutient l'armée mormone de Johnston (guerre de l'Utah), en contribuant à ravitailler les troupes avec des chariots. Toponce, qui était franc-maçon, n'embrassera jamais leur religion, mais il gardera de cette époque des soutiens solides au sein de la communauté, qui lui permettront de développer ses affaires dans l'Utah et le Nevada.
Au début des années 1860, il est chercheur d'or. Mais ce qu'il voit autour de lui ne l'incite pas à persévérer dans cette voie, car c’est un entrepreneur né. « Cet homme-là avait toujours une idée pour faire fructifier un dollar », dira-t-on de lui à la fin de sa vie. Toponce, donc, voit bien qu'il y a mieux que chercher de l'or : vendre les produits de première nécessité aux campements d'orpailleurs qui fleurissent un peu partout. Il y a juste le désert à traverser, les indiens qui ne sont pas toujours commodes, et les voleurs de grand chemin. Il devient transporteur de marchandises comme le thé, la farine, le sucre ainsi que des pioches.
Alexander Toponce, qui a réuni pour 20 000 dollars de poussières d'or, va aussi se lancer dans le développement économique horizontal. Son entreprise de transport nécessitant des chevaux, il en élève dans le désert en les y laissant à l'état sauvage pour qu'ils s'endurcissent. Il garde les meilleurs pour les courses de chevaux où il s'est rapidement fait une réputation.
Corinne (1869), dont Toponce fut le maire
Comme il faut des relais sur le chemin, il contribue à créer la ville de Corinne (Utah), au nord de Salt Lake City, où il installe ses stocks de marchandises et ses chariots. Il devient d'ailleurs le maire de la localité. Il se fera aussi élire shérif afin de pourchasser, dans le désert, les voleurs de chevaux.
Le dernier crampon (1881) par Thomas Hill
La jonction des chemins de fer de l'Union Pacific et de la Central Pacific en 1869.
La construction du chemin de fer est difficile dans le Far West. Toponce est là, avec ses chariots, pour fournir aux chantiers de Union Pacific Railroad Company l'approvisionnement des ouvriers en viande de bœuf et en vivres. Il participa à la cérémonie du Golden Spike (crampon d’or) ou la pose du dernier crampon qui marqua la jonction des deux voies du chemin de fer à Promontory Summit, constituant ainsi le Premier chemin de fer transcontinental.
Et comme l'élevage prend de l'ampleur, il trouve des capitaux auprès d'Irlandais pour fonder un ranch de 20 000 hectares dans l’Idaho, dont il devient le manager général. L'affaire se terminera par un différend entre associés, qui sera tranché, en sa faveur, par la Cour suprême des États-Unis le 18 mars 18941.
Il n'y avait pas de route pour des chariots entre Challis et Bonanza ; avec 35 000 dollars et une centaine d'hommes, il construit une route qui traverse les montagnes : la « Bonanza road », aujourd’hui la Nevada State Route 579 qui aboutit dans le centre de Las Vegas. En 1879, la ligne de Toponce, effectue chaque jour, avec des chariots tirés par quatre chevaux, le transport de marchandises à travers le désert sur une distance de 250 km. Et comme il l'écrit dans ses mémoires, une bonne année, pour lui, était une année sans mort parmi son personnel, sans accident sérieux et sans hold-up. Il s'est finalement éteint dans son lit en 1923, à l'âge de 83 ans à Ogden (Utah).
Toponce, Toupence, Toupance ?
DANS LE TERRITOIRE DE BELFORT
 
À Belfort, Toponce est un parfait inconnu et n'existe pas dans le Territoire de Belfort. En revanche, celui de Toupence s'y rencontre depuis au moins le début du XVIIIe, et celui de Toupance est assez courant en Franche-Comté. À Belfort, le conservateur des archives municipales est formel : il n'y a pas eu d'Alexandre Toupance ou Toupence né le 10 novembre 1839 à Belfort. Il a pu, aussi, naître dans une autre localité du Territoire de Belfort, les Toupence se rencontrant plutôt dans le nord du département.
AUX ETATS-UNIS
 
Aujourd'hui, Alexander Toponce est régulièrement cité par la nouvelle génération des historiens américains en raison de la publication, juste après la Première Guerre mondiale, de ses mémoires qui donnent une vision précise et réputée juste de la conquête du Sud-Ouest des États-Unis. Ce texte, qui n'existe qu'en anglais, débute ainsi : « Mon nom est Alexander Toponce. Je suis né à Belfort, France, le 10 novembre 1839 ». Dans les livres américains évoquant les pionniers les plus connus de la conquête de l'Ouest, Alexander Toponce apparaît entre Buffalo Bill et Laura Ingalls Wilder (auteure du livre « La petite maison dans la prairie »). On sait qu'Alexander Toponce avait une sœur et deux frères, nommés Peter et Chester dans ses mémoires, qui sont morts au combat pendant la Guerre de Sécession. Le nom de Toponce se rencontre encore aujourd'hui autour de Salt Lake City. Un ruisseau, réputé pour ses poissons, porte le nom de « Toponce Creek », à 200 km au nord de Salt Lake City, entre Pocatelo et Montpelier. Par ailleurs, dans la forêt nationale de Targhee, près de Garland dans l'Utah, un canyon Toponce est traversé par une «' 'route du canyon Toponce ».
 
DANS NOTRE ARBRE  :
 
Le lien de parenté entre BOCHET Christian, Raymond, Charles et TOPONCE Alexander :
- BOCHET Christian, Raymond, Charles, fils de :
- BOCHET Louis (° 1928 + 1997), fils de :
- BOCHET Alfred, Félix (° 1900 + 1988), fils de :
- BESANCON Marie, Virginie (° 1869 + 1943), fille de :
- MILLOT Victoire, Octavie (° 1841 + 1909), fille de :
- BALLAIN Françoise,Célestine (° 1812 + 1895), fille de :
- BALLAIN Joseph, Etienne (° 1768 + 1843), père de :
- BALLAIN Hilaire Adolphe (° 1815 + 1884), père de :
- BALLAIN Charles Émile (° 1860 + 1931), père de :
- BALLAIN Ira Emile (° 1882 + 1956), conjoint de :
- SCHICK Ella Sophia (° 1884 + 1973), fille de :
- SCHICK William E. (° 1836 + 1908), père de :
- SCHICK Frances Annie (° 1863), conjoint de :
- NAVERT John Wesley (° 1855 + 1938), fils de :
- SMITH Abigail (° 1825), conjoint de :
- HOUSE Harvey (° 1823 + 1852), fils de :
- HOUSE George Ash (° 1800 + 1857), père de :
- HOUSE Henry Clay (° 1842 + 1922), père de :
- HOUSE Beatrice Clay (° 1869 + 1946), conjoint de :
- TOPONCE John Horace Cullen (° 1864 + 1944), fils de :
- BEACH Katherine Ann (° 1847 + 1926), conjoint de :
- TOPONCE Alexander (° 1839 + 1923).
Un ancêtre pionnier de l'Ouest américain

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Les prénoms ont une signification...

Publié le par Christian Bochet

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