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Pluviométrie à Moreuil

Publié le par Christian Bochet

 

Pluviométrie

Du mois de Janvier 2022 à Août 2022 = 270.5 mm

Du mois de Janvier 2021 à Août 2021 = 574.5 mm

Soit un déficit de 47,8 %

 

 

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Généalogie des Seigneurs de Moreuil

Publié le par Christian Bochet

Généalogie des Seigneurs de Moreuil

Le lien de parenté entre de SOISSONS Vuillaume

et 

BOCHET Christian résidant à Moreuil :

 

- de SOISSONS Vuillaume (° 0868/0930), père de :
- de MOREUIL Bernard I (° 0948/1072), père de :
- de MOREUIL Bernard II (° 1028/1090 + 1127), conjoint de :
- , conjoint de :
- de NESLE SOISSONS Yolande, mère de :
- de MOREUIL Bernard VI Alias Bertrand, père de :
- de SOISSONS- MOREUIL Jeanne Dite L'Ainée, conjoint de :
- de MAILLY Jean (° 1337), fils de :
- de PICQUIGNY Jeanne ( + 1373), fille de :
- de PICQUIGNY Jean II (° 1275/1285 + 1340), fils de :
- de PICQUIGNY Jean I (° 1248/1249 + 1304), père de :
- de PICQUIGNY Marguerite ( + 1343), conjoint de :
- de ROYE Mathieu, fils de :
- de ROYE Mathieu I, fils de :
- de ROYE Raoul I, père de :
- de ROYE Marie I (° 1228 + 1272), mère de :
- de VENDÔME Jehan V (° 1250 + 1315), père de :
- de VENDÔME Jehanne (° 1285 + 1340), mère de :
- de SULLY Aliénor (° 1315 + 1370), mère de :
- de BARBEZIEUX Agnès (° 1338 + 1400), mère de :
- de la ROCHEFOUCAULD Guy II (° 1360 + 1432), père de :
- de la ROCHEFOUCAULD Guillaume (° 1412 + 1487), père de :
- de la ROCHEFOUCAULD Jehanne (° 1439 + 1515), mère de :
- du FOUILLOUX Guillemette (° 1459 + 1515), mère de :
- de MAYNARD Delphine (° 1485 + 1550), mère de :
- de CAVAIGNAC Gerault (° 1510 + 1550), père de :
- de CAVAIGNAC Colette (° 1536 + 1600), mère de :
- JANNOT Philibert (° 1552 + 1590), père de :
- JANNOT Nicolas (° 1570 + 1615), père de :
- JANNOT Didier (° 1600 + 1640), père de :
- JANNOT Françoys (° 1615 + 1690), père de :
- JANNOT Nicolas Le Jeune (° 1649 + 1719), père de :
- JANNOT François (° 1670 + 1735), père de :
- JANNOT Pierre (° 1698 + 1778), père de :
- JEANNOT Pierre (° 1736 + 1804), père de :
- JANNOT Jeanne (° 1776 + 1822), mère de :
- GUÉREL Marguerite (° 1815 + 1888), mère de :
- BESANCON Jean-Baptiste, Onézime (° 1841 + 1919), père de :
- BESANCON Marie, Virginie (° 1869 + 1943), mère de :
- BOCHET Alfred, Félix (° 1900 + 1988), père de :
- BOCHET Louis (° 1928 + 1997), père de :
- BOCHET Christian.

 

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alerte frelons asiatiques

Publié le par Christian Bochet

Je trouve de plus en plus de frelons asiatiques dans mon jardin qui s'attaquent aux fruits de mes pommiers.

La vigilance serait de bon ton dans ce secteur.

alerte frelons asiatiques

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Publié depuis Overblog et X (Twitter)

Publié le par Christian Bochet

A la vitesse de l'augmentation de l'électricité faire la recharge de son véhicule électrique risque de coûter plus cher qu'un plein d'essence...!
Toutefois il faut remarquer et noter que cet état de fait est de la responsabilité de nos gouvernants qui n'ont eu de cesse de faire le jeu des écolos depuis des décennies; c'est manquer de clairvoyance et de bon sens et tout cela nous le payons aujourd'hui comptant et le payeront demain durant l'hiver prochain.
 
Faux prétexte pas très honnête de coller cela sur le dos de la guerre Russie-Ukraine.
 
 

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cousinage

Publié le par Christian Bochet

cousinage

 

Émile Richebourg, né le 25 mai 1833 à Meuvy et mort le 26 janvier 1898 à Bougival, est un romancier français.

L'un des romanciers les plus féconds et les plus répandus de son époque, il a connu une notoriété importante comme auteur de romans-feuilletons, parus notamment dans le Petit Journal. Ayant débuté dans la littérature tous les auspices de Béranger, il a écrit, pendant quarante ans, au courant de la plume, au jour le jour, une inépuisable série d’œuvres dont la vogue était extrême auprès du public. Il a excellé dans l’art bien spécial du roman d’aventures et de sentiments, du genre larmoyant douceâtre, qui était la marque propre de son talent.
Biographie

Fils d'un coutelier, Richebourg est monté à Paris en 1850, où il a d’abord été maître d’études, ensuite comptable dans une maison de commerce, puis attaché pendant dix ans à l’administration du Figaro. Après avoir écrit quelques poésies légères et fait représenter quelques comédies-vaudevilles, il s’est lancé dans le roman, où il a rapidement trouvé à la fois une fortune considérable et une extraordinaire popularité. On lui doit les Soirées amusantes en 13 volumes, la série romanesque des Drames de la Vie en 16 volumes, qui reprend des thèmes de romans populaires tels que le Comte de Monte-Cristo, la Petite Mionne, les Deux Berceaux, Andréa la Charmeuse, les Deux Mères, la Figure de cire et l’Agent de police, qui ont causé un émoi, qui a fait de lui l’auteur favori des faubourgs. Tous les ateliers de Paris se sont passionnés, de 1876 à 1880, au récit de ces histoires de rapts d’enfant, de détournements d’héritage, de luttes entre la puissance de l’argent et la probité du prolétaire.

Jules Claretie, dans l’une de ses chroniques, l’a surnommé « le terre-neuve des journaux » parce qu’Émile de Girardin ayant voulu remplacer au Petit journal, le genre Richebourg par des récits plus délicats, a fait, avec Michel Strogoff de Jules Verne, baisser le journal de quatre-vingt mille exemplaires en huit jours. Richebourg vite rappelé à la rescousse, les ventes du journal ont rapidement remonté.

De même, lors de la fondation, sous les auspices de Léon Gambetta, de la Petite République, en 1875, cet organe de l’Union républicaine avait quelque mal à prospérer. Gambetta s’en désolait, cherchait des moyens, corsait sa collaboration, attisait les polémiques, la Petite République allait toujours cahin-caha, ne dépassant pas l’honnête moyenne de la combustion lente. Un jour, Philippe Burty lui a donné ce conseil : « Appelez Émile Richebourg, il paraît que le mélodramatique de ses ficelles romanesques est un moxa souverain pour les feuilles en détresse. » Ayant convoqué Richebourg, Gambetta lui a réclamé d’urgence un feuilleton populaire, dont l’affichage a été retentissant. En moins d’un mois, le tirage était monté de trente mille, et la Petite République était sauvée grâce à Richebourg.

Maître du roman populaire, travailleur consciencieux, pendant quarante ans de travail assidu, celui que Camille Pelletan appelle « un bon ouvrier d’une médiocre besogne » a multiplié les péripéties émouvantes, les enlèvements, les reconnaissances, les crimes, en créant tout un monde d’escarpes, d’assassins masqués, de brigands du meilleur monde. Mais ce qui constitue la marque de son œuvre, c’est sa spécialité d’enfants1. Il restera le père de l’Enfant du faubourg.

Les Deux Berceaux ont eu un succès auprès du grand public, très sensible, dont on n’a pas l’idée. Lorsque ses romans avaient réussi en feuilleton, Richebourg les publiait en livraisons et la vogue en était la même. Un de ses amis l’ayant, un jour, vu en famille très occupé à coller des bouts de papier imprimé sur de larges feuilles toutes blanches, lui a demandé : — C’est une collection d’articles écrits sur vous ? — Point. Je me soucie fort peu de ce qu’on écrit sur moi. Non. C’est un de mes romans que je découpe pour l’allonger et faire, sur la demande de l’éditeur, cinquante livraisons de plus. Je laisse des blancs pour écrire du dialogue en marge ! Les romans de Richebourg pouvaient ainsi grossir à volonté et, attachants et élastiques, durer tant que le public ne s’en fatiguait pas, et il ne s’en est jamais lassé.

Le critique Théodore de Wyzewa ayant affirmé que le journal populaire, avec ses feuilletons terrifiants et mauvais, était l’agent le plus actif du suicide, le visant en particulier, ce dernier s’est défendu en blâmant non les romans populaires, mais les philosophes de faire tout le mal avec leur doctrines mal digérées et leur soif de nouveau. Parmi tant d’autres qui ne se servaient du roman-feuilleton que pour exciter les mauvais appétits et les basses curiosités, il apportait à sa tâche une certaine probité et comme une intention de morale. Une grande honnêteté se dégageait de ses productions, où on pouvait être sûr du triomphe définitif de la vertu. S’il ne répugnait non plus qu’un autre au spectacle malsain du crime, il purifiait l’atmosphère par le contraste de l’innocence, de l’amour et de la vertu.

Cet écrivain dont la fécondité semblait intarissable et faisait l’admiration des foules était aussi un excellent confrère, qui ignorait ce qu’est la médisance et qui a toujours aidé les jeunes romanciers de ses conseils et de sa bourse1. Mort subitement, alors qu’il corrigeait les épreuves de son dernier livre, Richebourg a laissé par testament, à la Société des gens de lettres, le capital nécessaire à la fondation d’un prix qui portera son nom et qui devra être attribué chaque année à un romancier populaire.

Il a été élevé au rang de chevalier de la Légion d’honneur, le 30 mars 1894.

Il est inhumé au cimetière de Bougival où sa tombe est ornée d'un buste.

Sources Wikipédia.

De la branche Bochet.

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gaz tarif réglementé

Publié le par Christian Bochet

MES CONSOMMATION BAISSENT SÉRIEUSEMENT....

.....LES PRIX S'ENVOLENT.

CONSOMMATION 2021 = 21.384 kWh

CONSOMMATION 2022 = 16.231 kWh

Une consommation réduite de : 31.7 %

Une augmentation tarifaire de : 12,7 %

 

Réajustement 2022

Réajustement 2022

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Cousinage

Publié le par Christian Bochet

COUSINAGE

Ernest Flammarion est le quatrième d'une fratrie de six enfants dont le fils aîné, Camille, est un célèbre astronome. Ses parents Jules et Françoise Flammarion tiennent un commerce de mercerie. Sa sœur Anne-Marie (18561-19442) était l'épouse du libraire Auguste Nicolas Constant Vaillant.

Il débute en 1867 comme employé dans le commerce de librairie de M. Didier à Paris grâce à la recommandation de son frère Camille.

Fondation des éditions Flammarion

Ernest doit sa célébrité à la maison d'édition qu'il fonde en association avec la librairie Charles Marpon en 1876, les éditions Flammarion-Marpon, sises galeries de l'Odéon et Rue Racine à Paris. La réussite de cette entreprise est due au succès commercial de L'Astronomie populaire, livre de son frère qu'il publie en 1878 et qui remporte un énorme succès de librairie à la fin du XIXe siècle.

Par la suite, les éditions Flammarion s'orientent vers la littérature en publiant une grande diversité d'auteurs classiques, modernes (Stendhal, Balzac, Gustave Flaubert, Zola, Maupassant, Jules Renard) ou plus populaires comme Hector Malot, puis le catalogue se diversifie et couvre pratiquement tous les secteurs de l'édition avec une prédilection pour les publications de vulgarisation scientifique et de sciences humaines.

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Eau du robinet : STOP à l'empoisonnement de masse !

Publié le par Christian Bochet

Chaque jour, vous avalez des dizaines de pesticides, de métaux lourds et de résidus pharmaceutiques à votre insu.

60 millions de consommateurs a mené l’enquête : 8 prélèvements d’eau « potable » sur 10 sont contaminés.[1]

Chaque jour, vous vous empoisonnez.

Le réseau français d’eau « potable » est complètement contaminé par l’agriculture intensive, l’industrie chimique, les déchets radioactifs…

Plomb, manganèse, bromates, pesticides, nitrates, désherbants

Ces derniers polluent plus de 90 % des cours d’eau français.

En tête de liste : le fameux glyphosate.

« Deux millions de consommateurs boivent une eau non conforme en pesticides »,[3] Olivier Andrault, chargé de mission à l’UFC-Que choisir

Vous voulez savoir quel polluant vous buvez tous les jours ??

Celui qui se retrouve dans votre café du matin, dans le verre d’eau de vos enfants à midi ?

C’est l’Atrazine.

Un désherbant soluble dans l’eau interdit depuis 2001. 

 

 

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Publié depuis Overblog et X (Twitter)

Publié le par Christian Bochet

Pour avancer une société a besoin qu'on lui fixe un cap et un but afin de coaliser l'adhésion de ses membres. 

Rien en France n'est proposé pour fédérer une nation qui en a grandement besoin tant au niveau national que communal.

Ce constat est affligeant et préoccupant pour notre avenir en commun.

 

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budget participatif

Publié le par Christian Bochet

10.000 € pour le financement de vos idées.

Nous sommes face à un constat d'échec notoire de la part de nos élus qui sont dans l'incapacité de mettre en place un plan d'action pour Moreuil et pourtant ...!

J'ai hâte de connaître le gagnant.

 

 

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